La collaboration scientifique CMS a décerné un "CMS Award" à Clément Haas pour son rôle central dans l'installation de modules détection au silicium du trajectographe de l'expérience CMS et les tests de validation correspondants.

La commission de la recherche du conseil académique de l'Université de Strasbourg a décerné en 2024 un prix de thèse à Romain Schotter pour reconnaître et récompenser l'excellence de la recherche menée à l'IPHC dans le cadre de sa thèse.

Le Prix de thèse 2024 de l'Université de Strasbourg a été décerné à Anouch Tamian, dont la thèse réalisée sous la direction de Sylvie Massemin s'intitule « Effets des variations climatiques et de disponibilité alimentaire sur les réponses phénotypiques et démographiques d’un rongeur hibernant, l’écureuil terrestre du Columbia »

Le Groupement de recherche "Chromodynamique quantique" a décerné son Prix de thèse 2024 à Romain Schotter pour récompenser son travail de thèse exceptionnel.

L'objectif de cette journée est de dresser un état des lieux des travaux sur l’hydrogène à l'Unistra, pour les rendre visibles et stimuler les futures collaborations entre partenaires académiques, industriels et institutionnels, aux échelles régionale, européenne et internationale.

Cette école d’été a pour objectif pédagogique et scientifique de proposer une formation théorique et pratique en écophysiologie comportementale et évolutive. Places limitées à 22 doctorants. Date limite d'inscription : 7 juillet 2024.

Cette conférence, organisée à Strasbourg par l'IPHC, réunit toute la semaine plus de 300 physiciennes et physiciens autour des thématiques de la physique des quarks. Un moment fort pour la physique et l'astrophysique fondamentales.

Une nouvelle étude remet en question les méthodes d'évaluation des risques de l'exposition aux pesticides chez les abeilles sauvages et souligne le besoin urgent d'approches plus précises de l'évaluation des risques écologiques.

Du 27 au 28 mai 2024, l'Assemblée Générale annuelle de ChETEC-INFRA a présenté l'avancement de la mise en réseau et des activités de recherche, ainsi que l'état de l'art et les orientations futures dans le domaine de l'astrophysique nucléaire. C'est une chance et un honneur pour notre laboratoire et pour l'université de Strasbourg d'avoir été sélectionnés pour organiser et accueillir cet événement qui joue un rôle majeur en termes de rayonnement scientifique.

En marge du colloque scientifique, l'IPHC vous invite à la conférence grand public « D’un Manchot à l’autre : toujours plus jeûne, toujours plus chaud » le mercredi 15 mai 2024 à 20h au Palais Universitaire de Strasbourg

Contraction musculaire, transduction d’un signal, régulation de l’expression des gènes, reconnaissance des anticorps… la majorité des processus biologiques du vivant reposent sur des interactions spécifiques entre protéines. L’équipe LSMBO de L’IPHC a développé une nouvelle technique plus rapide et plus précise que l’état de l’art pour améliorer l'analyse de ces interactions.

Notre collègue Frédéric Nowacki, du groupe de physique nucléaire théorique, a été récompensé par un prix « FAIR-GENCO Membership Award » au GSI, pour sa collaboration de longue date avec les équipes scientifiques du GSI.

Le LabEx IRON, dont l'IPHC est partenaire, organise sa journée de clôture, qui sera l’occasion de dresser un bilan de 13 années d’existence du réseau, de faire le point sur les avancées scientifiques majeures obtenues pendant cette période et de se projeter vers l’avenir.

Dans le numéro d'Automne / Hiver 2023 de la revue Carnets de science, Cédric Sueur raconte, au travers d'un Carnet de mission, ses recherches en éthologie sur la macaque du Japon.

Après un arrêt technique d'un an et demi, l'expérience Belle II, située à Tsukuba au Japon, est prête à reprendre des données. L'analyse des données de la campagne 2019-2022 effectuée durant cet arrêt technique a révélé les signes de la désintégration du méson B →K+ ν anti-ν, un des points forts des grandes conférences internationales de l’été dans la discipline.

Une étude parue dans Mammalian Biology révèle que les souris rayées africaines ont un cerveau 10% plus petit en été, lors de la saison sèche où la nourriture se fait rare.